Portrait | Vie étudiante

3 questions aux ambassadeurs vie étudiante de la ComUE Université de Lyon

Le 5 avril 2024

Equipe d'ambassadeurs vie étudiante de la ComUE - avril 2024 © Université de Lyon
Equipe d'ambassadeurs vie étudiante de la ComUE - avril 2024 © Université de Lyon

Thierry Guichon, Marin Manfredi et Gwendal Plaud sont arrivés à la ComUE Université de Lyon en février en tant "qu’ambassadeurs vie étudiante". Leur mission ? Aller à la rencontre des étudiantes et étudiants du site et les renseigner sur les services et dispositifs d’aide existants en matière de santé, bien-être, handicap…

Quelles motivations t’ont poussées à pourvoir cette mission d’ambassadeur vie étudiante au sein de la ComUE ?

Gwendal, étudiant en Biosciences à l’Université Claude Bernard Lyon 1 :
Ce qui m’a motivé à devenir ambassadeur de vie étudiante est ma passion pour la représentation étudiante, aller au contact des étudiants afin de leur apporter quelque chose qui pourra améliorer leurs conditions de vie et leur permettre de réussir au mieux leurs études.

Marin, étudiant à l’UCLy
Ma motivation première vient de mon vécu d'étudiant.e pendant le Covid et de ce que je vois autour de moi. Je veux mettre à profit mon énergie au service de mes camarades. J'ai conscience de faire partie des plus chanceux et j'ai la chance d'être disponible pour améliorer le quotidien des étudiants, c'est pourquoi devenir Ambassadeur vie étudiante à la ComUE m'a tout de suite parlé. Cette mission nous permet d’être un lien entre la réalité et les solutions, et j’ai l’impression que c’est en partie ce dont les étudiants ont besoin.
Thierry, étudiant en informatique à l’Université Claude Bernard Lyon 1 :
Ce qui m’a attiré dans cette mission d’ambassadeur vie étudiante, c’est le lien direct et concret avec les étudiantes et étudiants. Pouvoir leur faire découvrir des dispositifs qui vont faciliter leur quotidien et les accompagner tout au long de leurs études, c’est là tout le sens de la mission.

Quels messages souhaites-tu faire passer lorsque tu vas à la rencontre des étudiantes et étudiants ?

Gwendal :
Je souhaite que les étudiants comprennent qu’ils ne sont pas seuls et qu’il y a des gens ou des organismes qui existent pour les aider et essayer de leur apporter un meilleur confort de vie pour mieux réussir leurs études.

Marin :
Leur montrer qu’ils sont pris en considération et que je suis là pour leur communiquer quels aides et tips de vie quotidienne il existe pour eux. Et tout ça avec sympathie et écoute parce qu’on a le même âge et que c’est aussi l’occasion pour eux de poser des questions et d’être entendu par quelqu’un qui a le sourire et qui fait remonter ce qui ne va pas et qui peut être changé.

Thierry :
Quand on va à la rencontre des étudiantes et étudiants, on intervient sur différents sujets avec des messages différents. Ce qui reste commun sur l’ensemble de nos interventions, c’est avant tout une attitude bienveillante qui permet de mettre en place un vrai dialogue. L’idée, c’est que toutes les personnes que l'on croise repartent informées et avec un grand sourire !


Après quelques semaines à intervenir auprès des étudiants sur les campus ou lors d’événements, comment penses-tu que ton rôle d’ambassadeur facilite le relais d’information et la remontée des besoins des étudiants ?

Gwendal :
Je pense que ça facilite le relais d’information et les remontées des besoins car je suis également un étudiant. Ce lien favorise l'échange et l'écoute d’étudiant à étudiant. Nous sommes plus solidaires comme ça et je pense que ça les aide grandement.

Marin :

Il y a une proximité instantanée avec les étudiants que l'on rencontre, ils nous écoutent tout de suite et s’intéressent, parce qu’on est comme eux. Il y a une confiance et une sympathie immédiate dans nos échanges ce qui enlève tout hermétisme et permet une grande efficacité pour la communication des aides.

Thierry :
Le fait d’être nous aussi des étudiants nous donne un avantage certain ! D’une part, la transmission d’égal à égal permet d’impliquer beaucoup plus les étudiantes et étudiants lors des interventions. D’autre part, le climat détendu qui s’installe permet de recueillir les besoins facilement et de dresser un portrait des étudiantes et étudiants bien loin de l’image type que l'on s’en fait habituellement.

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